Productions litteraires d'Anicet
MA PASSION POUR L’ECRITURE DES LIVRES
Ma passion pour l’écriture des ouvrages m’est venue dès la 2e année d’université filière informatique de gestion à Bordeaux en France. Tout part d’une amie qui s’était lancée dans l’écriture d’un magazine en France intitulé « BRUNE ». Ce magazine doit exister jusqu’aujourd’hui. Et cette amie nommée NABOUFAN est aujourd’hui grand coach au niveau international. Elle m’a donc fait la proposition d’écrire pour son magazine. Et un jour, je me suis amusé à écrire pour le compte de ce magazine. Pour moi, c’était juste pour rigoler. Et puis elle a publié mes écrits. En voyant l’impact de mes écrits dans ce magazine, cela a provoqué un déclic chez moi.
De là est parti mon envie d’écrire. J’ai donc commencé à écrire dans plusieurs magazines en France. De retour au Gabon, j’ai eu une opportunité de lancer une agence de communication ainsi qu’un magazine avec le concours du Directeur Adjoint du FMI à cette époque, Monsieur Alassane OUATTARA. J’’ai donc lancé l’agence et le magazine en partenariat avec mon ami Franck NGUEMA, l’actuel ministre des Sports au Gabon.
Ce magazine a eu un succès phénoménal sur l’Afrique. Puisque la magazine était partout en Afrique grâce à un distributeur international dénommé NMPP à l’époque.
Et puis sur cette lancée, je me suis demandé pourquoi ne pas écrire aussi des livres. J’ai donc commencé à murir l’idée d’écrire des livres. Mais le tout premier livre sera l’aboutissement d’un long marathon de conférences dans les quartiers de Libreville. Au cours de ces conférences, je m’adressais aux jeunes de toutes les classes sociales pour essayer de leur démontrer qu’ils pouvaient s’organiser eux-mêmes sans toujours attendre l’intervention des parents. Et la première arme de cette organisation – selon mon argumentaire – c’était de mettre en avant leur identité propre notamment leur culture.
J’ai pu constater – au cours de ces nombreuses conférences – que beaucoup de jeunes cherchaient à s’approprier leur culture. Mais ils ne savaient pas quelle stratégie adopter face à la déferlante des médias occidentaux. Résultats des courses : ils n’y arrivaient pas du tout.
Ainsi donc, après avoir réalisé près de 200 conférences, je me suis dit qu’il était impératif de faire quelque chose pour ces nombreux jeunes. Et mon idée s’est orientée tout de suite sur un projet d’écriture d’un livre. Un livre capable d’aider les jeunes à se réapproprier leurs cultures malgré l’échec des parents à y parvenir.
Lors des conférences, les jeunes m’ont dit : « c’est la faute des parents ». Et je leur répondais à chaque fois « non non ce n’est pas uniquement les parents. C’est d’abord vous-mêmes parce que vous êtes devenus des grands maintenant »
J’ai donc écrit un livre intitulé « Ubuntu Existentiel ». Ce livre répondait à une démarche méthodique. Il s’agissait d’une démarche de réappropriation culturelle. Le livre a été vendu à plus de 10 000 Exemplaires dans tous les pays africains et non africains en quête de restauration de leur identité culturelle.
C’est une méthodologie très simple qui permet une réappropriation étape par étape d’une culture dans tout ce qu’elle a d’essentielle et d’originelle.
C’est important de préciser que le livre UBUNTU EXISTENTIEL a été financé par l’ancien président Lybien Kadhafi, un fervent défenseur des cultures et des traditions africaines. Le livre a d’ailleurs été distribué dans les universités africaines en Lybie.
En dehors de l’Afrique, ce livre a été demandé en Amérique du Sud notamment au Costa-Rica et au Brésil. Les populations de ces régions se sont appropriées cette méthodologie dans leurs pays et l’ont enseigné dans leurs universités.
MA GRANDE AMBITION EN RAPPORT AVEC L’ECRITURE DES LIVRES
Je suis aujourd’hui à plus d’une quarantaine (40) de livres écrits. 15 livres déjà publiés et donc 25 en cours de publication. Les 15 livres publiés portent sur des thèmes divers et variés notamment les sujets de société, de développement personnel, de motivation, d’initiation à la sexualité, de management, de spiritualité et bien d’autres. Parmi les livres en cours de publications, il y en a un sur la gestion des ressources humaines adapté aux réalités de nos pays africains.
En effet, j’ai constaté que beaucoup d’entreprises africaines souffrent à mettre les employés au travail. Parce qu’en termes de production d’un employé, ce n’est pas passer 8h au travail qui signifie passer 8h de travail. J’ai mis en place une méthode qui rend les dirigeants beaucoup plus libres que par le passé. Ce qui les évitera de courir après leurs employés pour les mettre au travail. Il s’agit d’une gestion des ressources humaines à la carte.
Ma grande ambition, c’est de réussir à mettre en place un grand centre culturel à l’image de ce que mon défunt père Omar Bongo a voulu mettre en place avec l’appellation CICIBA. Il n’y est pas arrivé. Et le fait de n’avoir pu réaliser ce projet a été l’une de ces plus grandes déceptions. Il voulait que le CICIBA soit un centre culturel reconnu à travers l’Afrique et le monde. Et qu’il y soit inhumé. C’est vous dire à quel point ce projet le tenait à cœur.
Moi j’aimerais donc mettre en place un grand centre culturel à l’image du CICIBA pour honorer la mémoire de mon père d’une part, et d’autre part, réaliser mon rêve personnel. CECOCIBA c’est le nom du futur centre que j’ai choisi pour rester plus près de l’idée de mon père.
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